Le peuple invisible
Coréalisation de Richard Desjardins et Robert Monderie, 2007
Produit par Colette Loumède
Production et distribution : Office national du film
Visionner en ligne ou acheter le DVD : www.onf.ca
Prix et distinctions
- Prix Jutra (Québec), Meilleur documentaire, 2008
- Prix Gémeaux (Québec), Meilleur documentaire : société
Meilleure musique originale : documentaire (Claude Fradette), 2008
Extraits de critiques
Le peuple invisible
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«Le film se veut bien sûr critique à l'égard de la gestion «blanche» de la question autochtone, sans toutefois sombrer dans la complaisance à l'égard des Algonquins. [...] «Ce n'est pas un film sur les Indiens, c'est un film sur nous», insiste l'anthropologue Rémi Savard, qui a travaillé sur le film. Sur nous, parce qu'il retrace l'évolution des relations des Québécois avec les Algonquins. Celles du gouvernement, celles des citoyens voisins des communautés et celles de nos ancêtres.»
Brigitte McCann, Journal de Montréal, 17 novembre 2007
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«Le film de Desjardins a le mérite de s'intéresser à un peuple autochtone en particulier, le peuple algonquin, de l'aborder réserve par réserve, ou territoire par territoire, ce qui permet au spectateur de suivre le fil de cette histoire extrêmement complexe. Car si chaque histoire est différente, les communautés d'Algonquins ont en commun un passé trouble, parsemé de trahisons et d'ententes mal tenues ou mal comprises avec les différents ordres de gouvernement. [...] Sans aucune complaisance envers les autorités québécoises et fédérales, le film a le mérite de poser crûment les sources d'une longue histoire d'aliénation.»
Caroline Montpetit, Le Devoir, 12 avril 2008
«Le film se veut bien sûr critique à l'égard de la gestion «blanche» de la question autochtone, sans toutefois sombrer dans la complaisance à l'égard des Algonquins. [...] «Ce n'est pas un film sur les Indiens, c'est un film sur nous», insiste l'anthropologue Rémi Savard, qui a travaillé sur le film. Sur nous, parce qu'il retrace l'évolution des relations des Québécois avec les Algonquins. Celles du gouvernement, celles des citoyens voisins des communautés et celles de nos ancêtres.»
Brigitte McCann, Journal de Montréal, 17 novembre 2007
«Le film de Desjardins a le mérite de s'intéresser à un peuple autochtone en particulier, le peuple algonquin, de l'aborder réserve par réserve, ou territoire par territoire, ce qui permet au spectateur de suivre le fil de cette histoire extrêmement complexe. Car si chaque histoire est différente, les communautés d'Algonquins ont en commun un passé trouble, parsemé de trahisons et d'ententes mal tenues ou mal comprises avec les différents ordres de gouvernement. [...] Sans aucune complaisance envers les autorités québécoises et fédérales, le film a le mérite de poser crûment les sources d'une longue histoire d'aliénation.»
Caroline Montpetit, Le Devoir, 12 avril 2008
