Écrits
ALIÉNOR
Richard Desjardins
Lux Éditeur, 2008
www.luxediteur.com
Extraits de critiques
«Richard Desjardins avait livré une troublante lecture publique de son Aliénor lors du Festival Voix d’Amériques, en 2007. Cette première édition accompagnée des aquarelles de Shrü assure la pérennité à cette «chanson de geste» au langage inventif et dans laquelle le conteur prête voix aux déshérités d’une époque marquée par le double autoritarisme de l’ordre seigneurial et de l’Église.»Éric Paquin, Voir, 25 décembre 2008
«[…] l’alexandrin ici déployé actionne le récit de sa marche indéniablement souveraine, et la confession de Gauthier Sans Avoir, simple paysan venu donner la mort à la femme la plus puissante d’Europe, résonne avec une puissance que seul l’alexandrin, dont la poésie française a abusé avec brio, peut offrir. […] Desjardins évoque chaque épisode de la vie d’Aliénor d’un souffle impitoyable»Maxime Catellier, Ici, 18 décembre 2008
LE VOL DU COLIBRI
Michael Nicoll Yahgulanaas
Traduction et préface de Richard Desjardins
Postface du Dalaï Lama
Les Éditions du Boréal, 2008
www.editionsboreal.qc.ca
Extraits de critiques
«Il s’agit d’une fable racontée par les Quechuas, des Amérindiens d’Amérique du Sud. Mais elle prend un sens universel, dans le contexte écologique où des milliards de gouttes d’eau, ou de gestes quotidiens, sont nécessaires à la survie de l’espèce. C’est sans doute ce qui a poussé l’Haïda Michael Nicoll Yahgulanaas à illustrer et écrire cet héritage de la tradition orale, et l’auteur-compositeur-chanteur et cinéaste Richard Desjardins à le traduire pour nous. En découle le livre Le Vol du colibri, petit mais magnifiquement illustré»
Caroline Montpetit, Le Devoir, 1er novembre 2008
«Ce livre est non seulement un enseignement de persévérance, mais un objet en soi par sa complexité: nombreux sont ceux qui lui ont prêté leur voix, et les illustrations de l’artiste Yahgulanaas brillent par leur sobriété et leur exactitude.»
Isabelle Prévost-Lamoureux, Le libraire, 16 février 2009
«Une jolie fable pour faire réfléchir.»
Laure Noualhat, Libération, 16 octobre 2010